L'essence sans plomb reste un mystère pour les consommateurs. En effet, au début du XXème siècle, l'essence était sans plomb mais tous les 15000 kms, il fallait rajouter ce dernier pour diminuer l'usure par les soupapes du
moteur. Vers 1975, les compagnies pétrolières revoient leur position et diminuent de façon considérable le taux de tétraéthyle de plomb en le faisant passer de 0,55 à 0,15 par litre d'essence en 1991.
Ce changement est du aux différentes technologies misent en place au cours des décennies mais le consommateur a de quoi y perdre son latin.