Les gaulois pensaient que le gui était une plante pouvant guérir tous les maux. Il devint alors sacré et seuls les druides avaient le droit de le cueillir avec une faucille en or. Tout un rite était alors célébré autour de la plante.
A l'an neuf, les gens s'offraient du gui. Une expression est alors restée "Au gui, l'an neuf". Cette tradition a survécu au temps et aux
religions à travers les siècles. Aujourd'hui, nous accrochons du gui et nous nous embrassons dessous pour le premier de l'an afin que la plante porte bonheur toute l'année à venir.