Un chroniqueur de
courses hippiques dans les années cinquante avait une prononciation contestable. À la suite de plusieurs récriminations d'auditeurs mécontents d'avoir pris le ''un'' pour un ''vingt'', il décida de transformer le ''un'' en ''as'' sur les conseils avisés d'un ami bridgeur.
Une autre explication possible : cette appellation viendrait du fait qu'au début des
courses hippiques, le jokey (qui ne s'appelait d'ailleurs pas ainsi) qui portait le numéro 1 était celui qui avait gagné le plus de courses, c'était donc l'''as'', le meilleur.